11 octobre 2014
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Je me souviens que militaire je ne parvenais pas à faire marcher la troupe au pas. Mon esprit s'y refusait. On retrouvait mes hommes aux quatre coins de la place d'armes.
J'ai toujours ressenti une profonde jubilation devant la désynchronisation. Comme une présomption renonçant finalement à elle-même, se libérant, et dont l'absence soudaine ouvre l'esprit à l'air vif des dehors.
Gérard Larnac - octobre 2014